Méthode Jacquin

Nom de l'image : Lena
Type Original : JPEG
Taille de l'image : 512 x 512
Nombre de pixels : 4
Nombre de rotations/Flip : 4
Taille de stockage BMP : 192 Ko
Taille de stockage JPG : 65 Ko
Taille de stockage FRC : 41,7 Ko
Temps de compression : 22s

Figure 6.1: Image originale, image compressée, différence, partitionnement
\begin{figure}
\begin{center}
\epsfig{file=lenaSO.eps,scale=0.4} %\\
\eps...
...\\
\epsfig{file=lenaJP.eps,scale=0.415} %\\
\end{center}
\end{figure}

Figure 6.2: Etapes de la décompression
\begin{figure}
\begin{center}
\epsfig{file=lenaJ1.eps,scale=0.415} %\\
\e...
...\\
\epsfig{file=lenaJ4.eps,scale=0.415} %\\
\end{center}
\end{figure}

La compression sur cette image de taille modeste n'a demandé que 20 secondes, ce qui peut sembler beaucoup en comparaison des formats de compression standards, mais bien peu par rapport aux deux autres méthodes de compression fractale dont les tests suivent.

La qualité de l'image optenue est impressionante. L'image de différence le prouve, puisque presque aucun pixel ne diffère de l'image d'origine. La taille du fichier de sortie reste raisonable sachant qu'il est enregistré en mode texte. Une simple compression de type RLE ou ZIP appliquée à ce même même fichier en mode binaire permettrait d'être deux fois plus compétitif que le JPEG pour cette méthode.

Bien que le but de la compression fractale ne soit pas de fournir une méthode de compression en temps réel, mais d'augmenter le nombre de médias sur les supports de stockage, la méthode Jacquin est encore trop lente.

julien michot 2006-08-13